Grâce à son approche thérapeutique unique, Parcours d’Exil est l’association de référence dans la prise en charge de l’ensemble des publics migrants souffrant d’état de stress post-traumatique. À travers son centre de santé dédié et son expertise en formation et supervision des publics accompagnants, Parcours d’Exil s’illustre aujourd’hui comme un acteur de premier plan sur la question de la santé mentale des migrants.
La santé mentale, facteur indispensable à l'intégration des réfugiés
Les symptômes du psychotraumatisme sont envahissants au quotidien : manque de sommeil, stress intense, phobies, troubles de la concentration… Les personnes traumatisées éprouvent alors de grandes difficultés à faire face à leurs obligations personnelles, administratives et professionnelles.
Ainsi, les programmes d’insertion des réfugiés présentent un taux d’échecs élevé essentiellement parce que les bénéficiaires ne sont pas prêts mentalement. En effet, l’absence de soins psychiques nuit à la formation et à l’insertion professionnelle : absentéisme au travail, fatigue, accidents, retards, nervosité, difficultés d’intégration dans l’équipe…
Pourtant, des soins adaptés au psychotraumatisme des migrants, comme nous les proposons à Parcours d’Exil, vont permettre à ces réfugiés d’acquérir suffisamment de ressources pour se stabiliser sur le plan émotionnel, intégrer leur traumatisme et faire face aux multiples défis rencontrés pour s’insérer dans la société.
Le soin du stress post-traumatique des réfugiés est essentiel et primordial à leur intégration en France.
Parcours d’Exil a besoin de vous pour mener à bien son action. Votre soutien peut porter sur l’action en général de Parcours d’Exil, sur un type de patientèle (hommes, femmes, enfants, réfugiés, patients sans domicile…) ou sur un projet en particulier, dont vous trouverez le détail ci dessous.
Ressources
Projet CADA
Projet de prise en charge du psychotraumatisme des migrants en centre d'accueil pour les demandeurs d'asile
Projet de soin
Prise en charge du psychotraumatisme des migrants au sein du centre de santé de Parcours d'Exil